MONDE : En Côte d’Ivoire, l’ONG BLOOM séduit tout le monde !

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Par Touré VAKABA tourevakaba69@gmail.com

La Côte d’Ivoire bouge, les femmes aussi…et la très crédible administration Ouattara, au moyen d’une foule d’Arsenaux législatifs votés et validés par Abidjan, a su reconsidérer les brûlantes questions en rapport avec le genre, les posant au centre des priorités et des débats d’actualités, nécessaires et préalables au développement.

La Présidente de l’ONG BLOOM, posant ici avec l’ambassadeur de Mauritanie en Côte d’Ivoire…

Autrefois ignorée, voir stigmatisée, les aprioris qui consistaient à voir cette partie évidente de la population ivoirienne comme étant juste utile pour la cuisine et l’éducation des enfants, reste désormais un lointain souvenir au pays d’Houphouët-Boigny. Le temps faisant son chemin, elles sont majeures, visibles dans tous les secteurs d’activités. Certaines sont mêmes de hauts cadres, d’éminentes intellectuelles et figurent vraisemblablement au sommet de l’administration publique et privée.

Du haut de ce dynamisme relativement sain et porteur d’espoir, s’il y a une organisation non gouvernementale qui prospère et arrive à se vendre en qualité et en puissance, c’est bien l’ONG BLOOM du nom de cette grande unité caritative fondée par la ravissante épouse au ministre Cissé Ibrahim Bacongo, par ailleurs maire de la célèbre et très convoitée commune cinq étoiles de Koumassi (sud d’Abidjan).

Sur cette image, on peut facilement repérer Awa Djenepo de l’ONG DAMES D’AFRIQUE heureuse de sa collaboration avec la présidente de l’ONG BLOOM.

Créée courant 2018 et de droit ivoirien, l’ONG BLOOM s’est fixée comme objectifs, l’amélioration des conditions de vie et d’existence de la femme africaine en général, mais des ivoiriennes en particulier. En plus d’une série de priorités , elle travaille dur pour l’autonomisation de cette gente bien souvent écrasée et manifestement vulnérable ; lutte contre son taux d’alphabétisation très bas ; encourage la scolarisation de la jeune fille ; travaille de sorte à éradiquer définitivement la violence basée sur le genre ; s’engage à défendre entièrement sa sécurité et ses droits élémentaires.

La présidente de l’ONG BLOOM est certaine que sans partenaires fiable, le progrès reste incertaine

Ce sont au moins 10 000 membres actifs, repartis sur l’ensemble du territoire ivoirien, qui en sont les animateurs, tout en assurant son fonctionnement correct et efficace sur le terrain, dans le strict intérêt des bénéficiaires. Logé à Abidjan, capitale économique en plein essor, en l’abris du quartier chic de la Riviera 4 (cité verdoyante), le siège social qui grouille constamment de monde, ne désempli guère, et ce sont une trentaine de membres, des bénévoles passionnés et engagés pour l’essentiel, qui travaillent résolument jours et nuits, pour en assurer l’administration. L’institution fonctionne sur fond propre ainsi qu’avec l’appui de mécènes, de bienfaiteurs institutionnels et occasionnels.

L’union fait la force et l’humilité précède la gloire et le succès
Des organismes gouvernementaux tels le ministère de la famille, de la femme et de l’enfant , le Conseil national des droits de l’homme, le ministère de la solidarité et de la lutte contre la pauvreté, le ministère de la jeunesse, de l’insertion professionnelle et du service civique, qui a d’ailleurs aidé en la réinsertion concrète de 90 femme de l’ONG BLOOM. Aussi, soucieuse d’une santé publique fructueuse, humaine et équitable, l’organisation non gouvernementale a eu à sortir l’artillerie lourde, combinant professionnalisme, patriotisme, sérieux et détermination pour parvenir à donner sourire et espoir à ces milliers d’indigents, alors frontalement menacés par la COVID-19. L’ONG BLOOM avait aussitôt initié des caravanes de sensibilisation au moyen d’actions publique et du porte à porte, pour soulager des compatriotes fébriles et potentiellement exposés.

Le sérieux et le travail aidant, les partenaires se bousculent


À titre d’expériences, l’ONG BLOOM se félicite d’avoir accompagné, assisté et financé activement des particuliers qui étaient confronté à des cas d’extrême urgence.

Partout dans le monde, l’ONG BLOOM a su par son sérieux et son dynamisme, imposer ses atouts et arguments
«Nous aidons ces femmes à avoir le sourire, à vaincre la précarité et à une réinsertion dans la société en les aidant à avoir accès à des crédits bancaires et surtout à un logement digne et décent (…), mais attention, même quand elle est bien formée, la femme ne devrait pas se soustraire de ses responsabilités et engagements familiaux», dixit la Présidente de l’ONG BLOOM, visiblement heureuse de voir toutes ces personnes sortir progressivement de la pauvreté…

L’ONG BLOOM, si l’on en croit à une publication en date de ce jour samedi 18 Mars 2023, était l’invitée spéciale à PARIS du Forum intitulé « Dialogue International des Territoires » et la 3ème édition du Forum International des Femmes Leaders sur le thème «Connecter les femmes, Créer de l’avenir» les 16 et 17 mars à l’Assemblée Nationale et à la Mairie du 16ème arrondissement de Paris, où l’organisation de bienfaisance était l’invitée spéciale de l’Institut Mandela et ses partenaires.

La présidente de l’ONG BLOOM n’a fait aucune difficulté en acceptant le partenariat de Chim Inter, une entreprise dont le professionnalisme n’est plus une discrétion
«En présence des Ministres , des Sénatrice , des Chefs d’institutions , des Gouverneurs , des Présidents de Régions ou Départements et des Responsables des Relations Internationales , Monsieur Albert BAHE , responsable des relations extérieures de l’ONG BLOOM un exposé sur le thème : «Réseaux connectés des femmes, technologie, innovation et résilience socio-économique», rappelle la même publication.

Brave et travailleuse, l’État mauritanien, à travers son ambassadeur en poste à Abidjan, ne tari pas d’éloges pour la présidente de l’ONG BLOOM


Danielle Lidegoué, présidente exécutive de l’ONG BLOOM ne manque pas pourtant d’initiatives et d’inspirations pour atteindre ses objectifs et mieux les parfaire. Travailleuse, généreuse, maternelle, et particulièrement sensible à la souffrance et la dignité humaine, De nombreux témoignages rassurent et conviennent qu’elle a la main sur le cœur. La société civile, les institutions publiques et para publiques restent en puissance de solides appuis stratégiques.

Majestueuse et toujours présente au grands rendez-vous


Un extraordinaire projet de construction de «village BLOOM» devrait voir le jour à Duekoué, ouest ivoirien, épicentre de toutes sortes d’atrocités, dûes aux crises politiques répétitives. Ce complexe devrait comprendre un centre d’accueil et de transit pour les survivants des violences basées sur le genre (VBG), un centre de santé, une école maternelle et primaire devant servir à scolariser les enfants en situation de précarité, des établissements de formation, un incubateur pour aider à l’autonomisation des survivantes, ainsi qu’une clinique juridique.
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