L’ancien secrétaire à la défense sous Barack Obama, Leon Panetta, disait déjà en juillet à un média américain que l’Union européenne avait « une peur bleue du caractère imprévisible de l’actuel Président des États-Unis » car les européens étaient « préoccupés par le fait qu’il-Donald Trump- fait des choses en se fondant non sur ce qui est du meilleur intérêt mais uniquement sur sa vision de l’America First »
Et pas seulement eux car, Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, déclarait ce mercredi, que « Le fait que l’Amérique soit devenue imprévisible ces derniers temps n’est un secret pour personne », avant d’ajouter qu’ « une telle imprévisibilité de la part du plus grand pays, la plus puissante économie du monde, fait l’objet d’une profonde préoccupation mondiale ». Des déclarations qui faisant écho à celle de M. Panetta, intervenaient alors que le président russe Vladimir Poutineparticipait au sommet de l’ASEAN (Association des nations de l’Asie du Sud-est) à Singapour.
Peskov, donnait ainsi une idée de l’état d’esprit de l’administration russe avant le face-à-face prévu entre Trump et son homologue russe Vladimir Poutine lors du sommet du G20 en Argentine à la fin de ce mois. Des rencontres qui s’annoncent tendues alors que les responsables américains prévoient d’imposer de nouvelles sanctions à Moscou pour l’empoisonnement de l’ancien agent de renseignement russe Sergueï Skripal en Grande-Bretagne.
L’ancien secrétaire à la défense sous Barack Obama, Leon Panetta, disait déjà en juillet à un média américain que l’Union européenne avait « une peur bleue du caractère imprévisible de l’actuel Président des États-Unis » car les européens étaient « préoccupés par le fait qu’il-Donald Trump- fait des choses en se fondant non sur ce qui est du meilleur intérêt mais uniquement sur sa vision de l’America First »
Et pas seulement eux car, Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, déclarait ce mercredi, que « Le fait que l’Amérique soit devenue imprévisible ces derniers temps n’est un secret pour personne », avant d’ajouter qu’ « une telle imprévisibilité de la part du plus grand pays, la plus puissante économie du monde, fait l’objet d’une profonde préoccupation mondiale ». Des déclarations qui faisant écho à celle de M. Panetta, intervenaient alors que le président russe Vladimir Poutineparticipait au sommet de l’ASEAN (Association des nations de l’Asie du Sud-est) à Singapour.
Peskov, donnait ainsi une idée de l’état d’esprit de l’administration russe avant le face-à-face prévu entre Trump et son homologue russe Vladimir Poutine lors du sommet du G20 en Argentine à la fin de ce mois. Des rencontres qui s’annoncent tendues alors que les responsables américains prévoient d’imposer de nouvelles sanctions à Moscou pour l’empoisonnement de l’ancien agent de renseignement russe Sergueï Skripal en Grande-Bretagne.