♦️La chronique de notre rédaction
Qui est à la base des intrigues au port de pêche d’Abidjan ?
Que se passe-t-il encore et toujours au port de pĂŞche d’Abidjan ? Qui sont ces individus et canulars, sans foi, ni loi, lesquels, au mĂ©pris des dispositions institutionnelles et du bon climat qui règne dans la filière, s’Ă©vertuent Ă dĂ©libĂ©rĂ©ment offenser et jeter l’opprobre sur les travaux et rĂ©flexions engagĂ©s par le ministre en charge des ressources animales et halieutiques, et l’ensemble de ses collaborateurs ?
Ces candidats Ă l’intox et la propagande gagnent quoi en tordant le cou au droit, Ă la stabilitĂ©, Ă l’ordre et Ă la discipline ? Qui est ce Anoh JerĂ´me, meneur ou supposĂ© l’être, de cette campagne ordurière, dĂ©gueulasse, outrageuse, ourdit et lancĂ©e contre la filière, son fonctionnement interne et ses dirigeants ?
L’homme se réclamant à la fois «importateur et mareyeur», jadis gérant d’une certaine entreprise intitulée «Inter OCEAN», à la base pourtant de toutes ses misères et turpitudes concédées sur le périmètre du Port de pêche, ne décolère guère contre ses bienfaiteurs d’hier, notamment des autorités portuaires et ministérielles qu’il ne cesse de blâmer et d’accuser d’être à la base de sa «descente vertigineuse aux enfers».
Ce qui intrigue, est que lui et ses sbires font feu de tous bois pour justifier qu’ils existent. Notre pays qui a fait pourtant le pari du changement des mentalitĂ©s et des mĹ“urs, le levier majeur de sa gouvernance, continue de brĂ»ler sous les rafales d’injures diffamatoires, d’individus qui parlent, agressent, salissent et menacent d’autres citoyens, sans vergogne, ni retenue.
C’est comme si les textes lĂ©gislatifs qui consacrent, encadrent et rĂ©glementent le droit Ă la libertĂ© d’expression ou Ă la prise de parole, n’étaient que purs dessins. Originaire de N’Zenfouenou, dans la sous-prĂ©fecture de Kotobi, (extrĂŞme-est ivoirien), le susnommĂ©, notoirement connu et reconnu pour son activisme politique et sa petite suffisance, s’est certainement fixĂ© pour objectif de vilipender et noircir le chef de l’état ivoirien Alassane Ouattara et les actions de son gouvernement, dans une impunitĂ© intolĂ©rable.
Des sources sérieuses racontent par ailleurs, qu’il n’à cessé d’activer la fibre nationaliste et chauviniste, pour narguer de hautes personnalités qu’ils qualifie imprudemment de catelle étrangère, sans pouvoir justifier qu’il en était, lui, un authentique ivoirien.
Curieusement, le décret n°2021- 910 du 22 décembre 2021 du président de la république, portant plafonnement du prix du kilogramme du «faux thon» auquel il s’accroche, reste longtemps proscrit, voir en état de putréfaction très avancé, car personne n’ose plus en parler.
En vérité, le sieur Anoh Jerôme, ancien portuaire, croupi sous une énorme ardoise de plus de deux milliards (2.000.000.000 fcfa), concédée avec une compagnie sud coréenne qu’il refuse de payer, s’aventurant dans une escapade judiciaire et de délation, espérant étrangler la raison, et reprendre la main au port de pêche. Les ministères techniques ayant une implication directe dans la filière Pêche, devraient enfin se résoudre à discipliner, sinon punir cette colonie de récalcitrants qui semblent manifestement avoir la carapace très dure. VANITÉ !
Par Ludovic N’Wessou
Libre penseur